Sébastien Lemire, député d'Abitibi-Témiscamingue

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Leadership rassembleur
et collaboratif

Pour Sébastien Lemire, être député, c’est d’abord être à l’écoute des gens afin de porter, avec eux, leurs aspirations et d’adapter leur environnement aux réalités d’aujourd’hui.

C’est avoir un leadership rassembleur et collaboratif sur les enjeux qui nous touchent et participer à développer un milieu de vie durable, vivant, humain et à notre image.

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Hier soir, nous avons débattu de la crise qui secoue notre industrie forestière et qui affecte toutes les petites et moyennes entreprises qui gravitent autour de ce secteur. Je pense à tous ses entrepreneurs forestiers qui perdent des contrats, qui ont fait de l'achat de machineries et qui se retrouvent aujourd'hui avec une dette et des revenus qui diminuent.

Pendant qu'on réclame une aide rapide, pour aider ceux-ci à se maintenir à flots, le gouvernement Carney ne propose rien de nouveau. Des lignes de crédit, ça ne sauvera pas nos entreprises. On ne fait pelleter que le problème par en avant. Quand un citoyen perd son emploi, il n'ira pas remplir sa carte de crédit... Pourtant, c'est justement ce que propose ce gouvernement.

Des solutions, au Bloc Québécois, nous en avons. Un programme de subventions salariales pour permettre aux employés de maintenir leur lien d'emploi et ne pas voir l'expertise quitter l'industrie forestière, créer une stratégie industrielle misant sur la transformation accrue de la ressource et la recherche en vue de développer de nouveaux produits, faire reconnaître que le régime forestier québécois correspond aux exigences du libre-échange

Le président de Chantiers Chibougamau, Frédéric Verreault, avait proposé une solution simple et efficace. Ottawa pourrait acheter une partie des droits compensateurs en guise d'hypothèque à la fin de chaque mois. Ainsi, lors du prochain règlement sur le bois d'oeuvre, Ottawa reprendrait sa mise.

Il est temps d'agir. Aujourd'hui.
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Aujourd'hui, j'ai pris la parole pour souligner le 140e anniversaire de la pendaison de Louis Riel qui a eu lieu le 15 novembre 1885.

À ce moment, il avait déclaré: « Je suis chaque jour plus convaincu que, sans exception, j'ai agi correctement. Et j'ai toujours cru qu'en agissant avec honnêteté, le jour viendrait où les Canadiens le verraient et le reconnaîtraient. »

Au Québec, nous savons ce fait. Nous avons transmis à Riel son identité et sa vision du monde et nous l’avons toujours considéré comme un héros, comme une personne qui s'est tenu debout pour la langue française et pour son peuple. Il est un exemple à suivre. Comme les Patriotes du Québec, il a subi le même sort que le Canada réservait à ceux qui s’opposait à son pouvoir : la potence.

C’est pourquoi il ne faut pas se surprendre que, en 1885, les Québécoises et Québécois ont envahi le Champ-de-Mars à Montréal pour manifester leur mécontentement. Cette mobilisation témoignait des profonds liens qui ont uni les Métis et le Québec.

Nous n'avons jamais oublié Louis Riel. Il est toujours dans nos livres d’histoire, figure héroïque d’un mouvement plus grand que nature. Nous n'avons non plus pas oublié ce que le Canada et son premier ministre de l'époque ont fait.

Oui, les chiens du Québec ont aboyé. Je suis un de ses chiens du Québec. Et je continuerai à aboyer tant et aussi longtemps que justice ne sera pas rendu pour Louis Riel et les Métis de la Rivière-Rouge. Et cela passe par des gestes de reconnaissance concrets.

Marci!
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